Notre association � but non lucratif regroupe des enseignants, des chercheurs, des ing�nieurs et des �ducateurs socioculturels et tous ensembles nous proposons pour cet �t� des s�jours de vacances scientifiques pour les jeunes et les enfants, � partir de 8 ans et jusqu'� 25 ans.

POUR LES PARENTS D’ENFANTS ATTEINTS D’AUTISME ET POUR TOUT AUTRE INTERVENANT.

Une approche humaine et prometteuse de l’enfant autiste

Comment �tablir le contact par le jeu et le travail ?
Le premier pas � faire est d'adopter, dans le jeu et le travail, une attitude d’amour et d’acceptation; c'est ainsi que nous invitons l'enfant � entrer en contact avec nous. L’acceptation repr�sente, en quelque sorte, le "portail d'entr�e" privil�gi� dans une v�ritable relation, gage de possibilit�s de croissance inattendues.

Visiter l'excellent site http://www.enjeu.info

�Les enfants autistes souffrent d'une incapacit� � saisir les significations. Ils sont donc handicap�s dans tout ce qui a trait � l'abstraction. La communication surtout et le comportement social sont perturb�s. Par ailleurs, ils se raccrochent � un r�pertoire limit� de comportements, opposant souvent une grande r�sistance au changement.� R�sum�s et admis en ces termes par l'association Autisme-Suisse[1], ces troubles du d�veloppement touchent un enfant sur deux mille et, dans trois cas sur quatre, un gar�on. A la naissance de leur fils Axel voil� dixans, Wil et St�phane Clavien, de Veyras, sur le coteau sierrois, ne se doutaient pas qu'un neurop�diatre s�dunois lui diagnostiquerait l'autisme trois ans et dix mois plus tard. Face � ce handicap aussi peu courant que m�connu, ils se retrouvent seuls et d�munis. Mais le couple a r�agi. Il s'est organis� avec les moyens du bord, � leur fa�on. Et aujourd'hui, Wil, la maman[2], qui a m�me repris des �tudes de psychologie pour mieux aider les autres, aime � le relever: �Axel suit une scolarit� normale; il n'est plus autiste.�

Madame Figaro du samedi 19 mars 2005. Propos recueillis par Guillemette de Sairign�
[16 mars 2005]

Le psychiatre Patrice Huerre, sp�cialiste des adolescents, ouvre le d�bat sur un sujet tabou : ce n’est pas parce qu’un enfant a de bons r�sultats scolaires qu’il va bien. Ce peut �tre m�me le contraire. Analyse d’un (faux) paradoxe

Aim�e Gaudette Leblanc

Selon Fanny Cohen-Herlem, p�dopsychiatre et psychanalyste, on doit toujours privil�gier l’adopt�, m�me si les candidats � l’adoption vivent de vrais drames quand leurs d�marches n’aboutissent pas. � Les postulants sont souvent persuad�s, explique Fanny Cohen-Herlem, qu’il y a, r�pondant � leur projet, de tr�s nombreux enfants adoptables en France et dans le monde �. Mais, pr�cise-t-elle : � Ce n’est pas le cas �. Il faut se faire � l’id�e, conseille-t-elle d’autre part, que � tous les enfants ne sont pas adoptables et tous les parents ne sont pas susceptibles d’�tre des parents adoptifs �. Enfin, avant et apr�s, l’adoption est un chemin o� l’accompagnement des uns et des autres est indispensable et Fanny Cohen-Herlem regrette l’absence d’une formation sp�cifique des travailleurs sociaux

L’�cole travaille d�j� depuis un an � implanter le programme en d�veloppant des liens avec la communaut� et en sollicitant l’implication des parents dans la r�ussite scolaire de leur enfant. Une �quipe locale, compos�e entre autres d’intervenants du CLSC, de la biblioth�que municipale, de la formation g�n�rale et de la municipalit�, œuvre � �laborer des actions r�pondant au programme.

Sommaire :
Une analyse des risques d’atteintes sexuelles de mineurs sur internet, p1
Un plan d’action appuy� sur un consensus des acteurs concern�s, p1 

Ce rapport, r�sultant d’un an de travaux d’un groupe de travail constitu� de repr�sentants des pouvoirs publics, des acteurs �conomiques et des associations concern�s, �tablit pour la premi�re fois en France, une analyse objective et raisonn�e des risques d’atteintes sexuelles sur mineurs par le biais d’internet. Il distingue les deux ph�nom�nes que sont, d’une part, la diffusion de contenus p�do-pornographiques sur l’internet et le risque de contacts p�dophiles, d’autre part : 
 

L'atomoxetine: une nouvelle m�dication

Marie Caouette

Le Soleil

� l'�cole ou au travail, ils ont du mal � se concentrer, � demeurer longtemps immobiles ou � contr�ler leurs �motions. �Ils s'�parpillent, papillonnent. Ils sont aussi dans la lune et oublient.

La Dre Annick Vincent a publi� � Mon cerveau a besoin de lunettes �, un guide pour ceux qui vivent avec un probl�me d'hyperactivit�.
 
 

trouble du d�ficit de l'attention

Du nouveau pour les cerveaux qui roulent � 200 km/h

� l'�cole ou au travail, ils ont du mal � se concentrer, � demeurer longtemps immobiles ou � contr�ler leurs �motions. � Ils s'�parpillent, papillonnent. Ils sont aussi dans la lune et oublient. Ils ont la patte qui bouge tout le temps, les mains qui brassent, ils ont du mal � rester assis. Ils parlent tout le temps et sont tr�s impulsifs �, d�crit la psychiatre Annick Vincent. C�t� positif, ce sont des gens souvent inventifs !

Ces gens sont des � TDAH � ou personnes atteintes du trouble du d�ficit de l'attention, avec ou sans hyperactivit�. Bonne nouvelle pour certains d'entre eux. Les m�decins qu�b�cois et canadiens disposeront bient�t d'un � outil � nouveau pour traiter les enfants et les adultes atteints de ce probl�me neurologique sur lesquels la m�dication connue reste sans effet.

Le TDAH touche pr�s de 5 % de la population. Dans la r�gion de Qu�bec, environ 15 000 adultes et enfants en souffrent. Les probl�mes d'inattention surgissent entre l'�ge de trois et six ans et, dans la moiti� au moins des cas, les probl�mes persistent � l'�ge adulte. Cela ne fait pas longtemps que les sp�cialistes ont r�alis� que le TDAH continuait d'affecter les adultes. On constate aussi que les gars sont plus affect�s que les filles, dans une proportion de six ou sept pour une.

D�s que j'ai des infos sur cet ouvrage en Suisse je vous tiens au courant

Pierre-alain